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Qui suis-je

Qui suis-je

Née le 3 janvier 1965 à Sion, en Suisse, de parents allemands encore profondément marqués par la guerre, mon enfance fût difficile, à l’exception du soutien de mon frère jusqu’à son décès (22 ans). Sa mort m’a profondément affectée. Après avoir vécu une EMI (expérience de mort imminente), j’ai été poussée par une force de vivre. J’ai compris que nous faisions tous partie d’un plan bien défini et que nous pouvions tous avoir un impact sur ceux qui croiseraient notre route.

Les années ont passé… et c’est une maladie – la sarcoïdose – qui m’a rappelée que je n’explorais pas encore les multiples facettes de ma mission de vie. Tous mes organes vitaux ont été touchés. Je ne pouvais plus m’occuper de mes enfants, alors âgés de 1 et 4 ans ; ma vie était menacée. Les médecins m’ont informée que les séquelles de cette maladie existerait toujours dans mon corps, que je ne pourrais plus pratiquer d’activités physiques intenses, et que je pourrais connaître des épisodes de rechutes. Je n’ai pas pu l’accepter. L’amour que j’éprouvais pour mes enfants m’a donné le courage d’entamer des recherches. N’ayant pas trouvé de solution dans la médecine traditionnelle, je me suis orientée vers d’autres médecines. C’est ma propre méthodologie qui m’a sauvée. J’ai compris que l’énergie vital était emprisonnée par des croyances limitantes. ​ Guidée et initiée par la lecture de différents ouvrages, j’ai découvert que seul 3% de l’ADN nous identifie et que les 97% restants sont constitués de nos mémoires personnelles. J’ai alors entrepris des recherches sur le comportement humain. J’ai ensuite découvert en moi un pouvoir inné : celui de passeuse d’âmes, message que j’avais reçu très tôt dans ma vie, lors de mon expérience de mort imminente (EMI). ​ La première mission d’une passeuse d’âmes est d’accompagner une personne à densifier son âme. L’âme est notre flamme de vie, c’est le moteur qui nous permet d’exister, de vivre. Le corps nous permet de ressentir, mais sans en comprendre la signification. L’esprit est la connaissance qui interprète, crée, analyse et informe. ​ Les mauvais choix, l’ignorance, l’arrogance, l’abandon, etc. nous éloigne de notre âme. Au fil du temps des peurs et des souffrances émotionnelles s’installent, ensuite des maux ou des maladies physiques. Cette situation peut perdurer pendant très longtemps, voir des années. En méditant, j’ai expérimenté toutes sortes d’exercices de visualisations guidées me permettant de me libérer des enchainements et des freins à l’épanouissement personnel et professionnel. En parallèle, j’ai entrepris la formation de spécialiste en Ressources humaines pour accompagner les personnes qui subissent des traumas en entreprise. Je me suis ainsi tournée vers la communication non violente et j’ai compris l’importance des mots; j’ai entrepris une communication intérieure. Après avoir bravé les obstacles de la maladie, booster mon énergie vitale, j’ai compris que la véritable clé se situe dans l’ancrage entre corps – âme – esprit. C’est pour cette raison que je me mets aujourd’hui à disposition pour aider tous ceux qui souhaitent transformer leur vie et jouir de toutes les opportunités de la vie. ​ La deuxième mission d’une passeuse d’âmes est de soutenir les personnes en fin de vie, au travers de thérapies. L’objectif est de désencombrer l’âme de ses culpabilités tout en accompagnant la famille survivante, ceci rend une réconciliation avec l’arbre généalogique possible. Cette approche leur permet de se réapproprier l’amour et la joie d’exister. Ainsi, la séparation se fait dans la paix et dans la gratitude. Ensuite, une passeuse d’âmes leurs permettent de traverser les ombres personnelles pour accéder à la lumière, le retour vers leurs familles originelles.